Capteurs d’allumage, lesquels choisir ?

mardi 15 mai 2018.
 

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Entre les capteurs inductifs ( bobine, 2 fils) et les capteurs à effet Hall ( 3 fils ), on peut se poser la question.

Capteurs inductifs

Ces capteurs sont de la famille " à reluctance variable".

Ils ont été utilisés au début de l’ère des allumages electronique sans vis platinées(par exemple sur les R5 Turbo, ou Bx Citroen).

Principe : un aimant tournant induit une tension dans une bobine fixe, un peu comme un alternateur

Je ne ferai pas dans la dentelle"à éviter le plus possible", pourquoi ?

Ce sont de mauvais alternateurs : très peu de volts quand on en a besoin au démarrage, puis bien trop de volts quand ça tourne vite, c’est un vrai problème.

Il faut donc amplifier leur signal puis l’écrêter, d’où des amplis différentiels etc, je sais j’ai donné et réalisé un circuit pour tout ça et joué avec vers 2005.

Pour ajouter l’insulte à la blessure, ils sont peu précis car la pente du signal croit avec le regime ce qui déplace le seuil vers trop d’avance...

Capteurs à effet Hall

Ils ont à mon avis toutes les qualités :

-  on/of, sans histoires, quelque soit le regime, c’est à dire 0 ou 5V (ou 12V) mais rien entre les deux !
-  bon marché
-  très robuste, résiste jusqu’à 125°C
-  d’experience depuis 15 ans sur l’Alpine, ils ont encaissé les pires conneries de ma part...et il y en a eu..

Que demander de mieux ?


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